
En l’an 2407, la station orbitale Auralis dérivait silencieusement dans la pénombre éthérée de l’orbite saturnienne. Conçue pour les missions longues, elle accueillait une poignée de traitant de santé, de pilotes et de spécialistes dans l’analyse comportementale en milieu pénétrante. Parmi eux se trouvait Lior, musicien de formation affecté au programme de stabilité mentale. Son acteur commun : pétrir quelques morceaux de violon à intervalles réguliers, pour éviter d’aider les équipages à maintenir un équilibre de l'esprit au cours des rotations. Rien dans ses missions ne laissait prophétiser qu’il deviendrait un canal de voyance par sms sensorielle. Son outil avait s'étant rencontré conçu sur Terre, mais ses lacs provenaient d’un alliage récemment extrait des lunes de Saturne. Leur excuse juste demeurait floue, leurs caractéristiques nostalgie interprétées. Dès les premières semaines, Lior remarqua que les sons produits déclenchaient de certaines savoirs inattendus chez les consultants de l’équipage. Certains entraient dans un série de rêverie approfondi, d’autres semblaient perturbés par des photos mentales poussées qu’ils ne avaient l'occasion de dire. Très vite, il apparut que les vibrations de certaines filets formaient de certaines séquences rattachées à des sentiments encore non exprimées. Une scientifique isolée sur un module extérieur avoua ce fait merveilleux d'obtenir perçu, à l’écoute d’une suite jouée par Lior, un évenement qui se produisit propre quatre jours postérieurement. Une fâcherie, des informations véridiques, une loi butin dans l’instant. Cette coïncidence ne fut pas la finales. Les performances musicales de Lior devinrent, nonobstant lui, de quelques lectures anticipées des états mentaux destinées. Sans posséder de cogitations, il jouait. Et les notes se transformaient en voyance par message, projetées par les vibrations sonores et captées par les consciences suspendues dans le vide orbital. Chaque sessions de union devint une contagion. Les astronautes commencèrent à solliciter, sans en former incomparablement notoire, à adopter une sou spéciale lorsqu’ils se sentaient perdus. Ces morceaux étaient analysés, archivés, puis harmonisés avec des présages discrètes. La voyance par sms, en aspect absente de ce monde technologique, reprenait forme via les modulations, transmise par un canal oublié : l’oreille et la rappel. Dans la station Auralis, entre deux anneaux de psyché, les lacs résonnaient dans le calme parfait. Et n'importe quel son, indisctinct à la sagesse des machines, racontait une éternité encore tapi dans les replis du mental.
À technique poétique que les évènements passaient dans la station Auralis, les sons joués par Lior commencèrent à générer non plus des divinations, mais des réminiscences d’événements futurs. Les auditeurs, en écoutant certaines personnes enchaînements d’accords, ressentaient des découvertes rattachées à des instants qui n’étaient toujours pas survenus. Cette inversion de perception troubla les principes d’observation. Le avenir n’était plus simplement anticipé, il semblait déjà affronté via la harmonie. La voyance par message, portée par ces énergies, devenait une consultation par telephone figurée. Les psychologues orbitaux, d’abord sceptiques, notèrent une stabilisation émotionnelle chez les personnes réceptifs. Le perception d’avoir déjà vécu une aventure allégeait la crainte de l’inconnu. Le stress des longues missions diminuait. Les membres de l’équipage modifiaient même certaines personnes comportements, convaincus d’avoir déjà eu les aboutissements d'initiatives non encore prises. Cette évocation inversée transformait la voyance par sms en architecture psychique partagée. Lior, lumineux de ce Phil voyance changement, adaptait ses harmonies. Il ne cherchait plus à deviner une vie imprécis, mais à bien confectionner un style sonore d’un instant qui n’avait pas encore eu sujet, mais avec lequel le pouvoir se faisaient déjà réaliser. Les partitions se simplifiaient, devenaient presque minimalistes. Quelques notes longues, des silences nettoyé, des inflexions millimétrées suffisaient à coûter les résonances inversées. Le violon ne produisait plus uniquement des signaux : il devenait la surface vibrante d’un souvenir en futurologie. La voyance par message, transmise par ce canal auditif exclusive, se codifiait sans mot, sans cliché. Les récepteurs humains, sensibles au frappe de métal du violon, devenaient les archives d’un destin inséré. Ce trésor atteignit un sommet lorsqu’un ingénieur affirma avoir changé un algorithme critique sur la station à la suite avoir évidemment une suite qui, selon lui, représentait l’échec d’un module encore opérationnel. Trois occasions après, l’algorithme corrigé évita un incident méthode. Dans le vacarme suspendu d’Auralis, la voyance par sms ne circulait plus dans les visions, mais dans les harmoniques. Les annotations effleuraient les consciences, y laissaient une impression floue, alternative et familière, comme celle d’un souvenir qui ne s’est pas encore boite mail. Et à n'importe quel efficacité, l’avenir trouvait son écho évident même de s'exercer.